Dimanche dernier, les yeux étaient rivés sur Charles III et son arrivée au traditionnel office religieux de Pâques à la chapelle Saint-George de Windsor, à l'ouest de Londres. Cette apparition signait son grand retour en public depuis l'annonce de son cancer, début février. Le souverain était en forme, de quoi rassurer tout le monde. Il y avait en revanche une absence de taille : celle deKate Middleton, qui a récemment annoncé en vidéo être elle aussi touchée par un cancer.
Le monarque a donné de ses nouvelles, elle qui suit un traitement et se repose actuellement, avec le prince William et leurs enfants George, Charlotte et Louis, à Amner Hall, dans leur maison de campagne, où ils souhaitent "se couper du monde et aller de l'avant". Ces dernières semaines ont été difficiles pour la princesse de Galles, au coeur de différentes rumeurs et polémiques suite à sa photo retouchée pour la fête des mères britanniques en mars. Elle a ainsi besoin de recharger les batteries, sans compter sa maladie. Mais tout s'annonce décidément compliqué puisque sa mère Carole connait d'importants problèmes financiers, ce qui doit la préoccuper.
D'après un article publié le 1er avril par le quotidien britannique The Times, le cabinet de conseil engagé par la mère de Kate Middleton lors de la faillite de Party Pieces, son entreprise d'articles de fêtes, ne serait "pas en mesure" de couvrir tous les frais de recouvrement, qui s'élèvent à 260 000 livres (environ 303 550 euros, ndlr)". C'est en juin 2023 que la faillite de l'entreprise des Middleton avait été révélée dans la presse. Une information du Daily Mail, à l'époque. Les raisons de cette banqueroute ? Le business aurait été victime des aléas du Brexit, de l'inflation, ou encore de la pandémie de Covid-19.
Des pertes de 900 000 livres (1 million d'euros) entre 2021 et 2022 étaient évoquées. Et il serait "peu probable" que les créanciers récupèrent un jour leur dû, selon le Daily Mail. D'après The Mirror, Party Pieces aurait été partiellement rachetée par l'homme d'affaires James Sinclair, pour 180 000 livres. Un détail qui n'en est pas un, puisque c'est ce qui explique justement l'incapacité du cabinet Interpath Advisory, sollicité par les Middleton, à couvrir les frais. Car celui-ci bénéficie de "fonds limités pour faire face à ses obligations envers les créanciers". Une situation délicate...