Depuis toujours, Julie Gayet protège sa vie privée. En janvier 2014, quand éclate le scandale autour de sa relation avec le président de la République, la très discrète actrice et productrice se voit malgré elle sous le feu des projecteurs. En réaction, elle ne choisit toutefois pas pour autant de se terrer dans un bunker. Près de trois ans après l'éclatement de cette "affaire", elle a réussi à continuer à travailler pour sa passion, le cinéma, d'oeuvrer pour de nobles causes et de poursuivre son histoire avec François Hollande. Elle maîtrise son image et sur Instagram notamment, elle montre son visage, loin des rumeurs et des affres de la vie politique. Ainsi, c'est une artiste au naturel qu'on suit sur le réseau social, qui s'affiche en famille, mais toujours avec discrétion.
Trois photos ont été publiées sur son compte Instagram. Sur chacune d'elle, Julie Gayet pose de face, devant ses deux grands garçons, nés de sa relation avec le réalisateur et scénariste argentin Santiago Amigorena, Tadéo (17 ans) et Ezéchiel (16 ans) : "Ça y est... Ils me dépassent d'une tête !! Mes fils #16ans #17ans" Une maman radieuse et fière !
Julie Gayet est une heureuse mère qui veut transmettre à ses fistons les valeurs pour lesquelles elle se bat au quotidien, comme l'égalité entre les hommes et les femmes. Choisie pour être la marraine de la campagne lancée le 8 septembre par le gouvernement pour lutter contre le machisme, elle avait confié dans le magazine du Parisien : Je veux que mes grands garçons fassent les mêmes choses que moi : ils débarrassent la table, apprennent à cuisiner. C'est une question d'éducation, on est tous responsables. Mais parfois, on reproduit des choses sans s'en rendre compte. Un jour, nous étions à table et, alors que je m'apprêtais à servir le repas, j'ai lancé : 'Les filles d'abord !' Mon fils m'a demandé pourquoi, et là, je n'ai pas su quoi répondre. Nous en avons rigolé. 'Tu as raison, c'est aussi cela, l'égalité', lui ai-je glissé. Alors les petits d'abord !' Et je me suis interrogée sur cette forme de galanterie qui est plaisante, mais qui nous enferme aussi."