La pierre tombale de Mouss Diouf, à Auriol, dans les Bouches du Rhône.
La suite après la publicité
Il y a un an, quasiment jour pour jour, Mouss Diouf disparaissait, laissant orphelin le paysage audiovisuel français. Le vendredi 5 juillet 2013 marquait une nouvelle étape pour Sandrine, son épouse qui l'aimait d'un amour si puissant, dans son travail de deuil. Le cercueil du comédien, défunt interprète du célèbre inspecteur N'Guma de la fiction de TF1 Julie Lescaut, a enfin été transféré dans son caveau définitif. C'est ce que nous apprend l'hebdomadaire Ici Paris dans son édition en kiosques ce mercredi 10 juillet.
Mouss Diouf peut enfin reposer en paix... La cérémonie, très familiale, s'est déroulée dans la ville d'Auriol, à une trentaine de kilomètres de Marseille, dans les Bouches-du-Rhône. Venu dire un dernier au revoir à son papa, et se recueillir pour la première fois sur une sépulture digne de ce nom, Sandrine avait avec elle son fils Isaac, 8 ans, fruit de son amour pour Mouss, et Gaëtan, son autre fils, né d'une précédente union. Etaient également conviés à ce moment si lourd de sens la soeur, le frère, la mère et les neveux de la veuve, nous apprend le magazine Ici Paris. Pour l'occasion, les enfants avaient revêtu un t-shirt blanc à l'effigie de Mouss.
Isaac, lui, a marqué à tout jamais cet hommage : vissée sur la tombe, une plaque à la gloire de son père se dresse, portant une photo accompagnée de la mention "Papa adoré, le plus grand des papas". Cet enterrement sonne comme une délivrance pour Sandrine, qui dispose enfin d'une tombe sur laquelle se recueillir. Sa situation financière complexe l'avait contrainte à trouver une solution provisoire, en attendant d'offrir à son regretté mari une ultime demeure.
Des problèmes financiers sans doute aggravés par la récente décision de justice dans l'affaire du trafic de "miles", ces fameux points fidélité offerts par des compagnies aériennes. La semaine dernière, Sandrine était condamnée à une peine de quatre mois de prison avec sursis et à 139 000 euros de dommages et intérêts pour avoir détourné des "miles" à des personnalités et grands voyageurs, notamment sur la compagnie Air France. Suite à ce verdict, elle a entrepris une procédure en appel. Elle reste innocente des faits qui lui sont reprochés.
Joachim Ohnona
Mouss Diouf peut enfin reposer en paix... La cérémonie, très familiale, s'est déroulée dans la ville d'Auriol, à une trentaine de kilomètres de Marseille, dans les Bouches-du-Rhône. Venu dire un dernier au revoir à son papa, et se recueillir pour la première fois sur une sépulture digne de ce nom, Sandrine avait avec elle son fils Isaac, 8 ans, fruit de son amour pour Mouss, et Gaëtan, son autre fils, né d'une précédente union. Etaient également conviés à ce moment si lourd de sens la soeur, le frère, la mère et les neveux de la veuve, nous apprend le magazine Ici Paris. Pour l'occasion, les enfants avaient revêtu un t-shirt blanc à l'effigie de Mouss.
Isaac, lui, a marqué à tout jamais cet hommage : vissée sur la tombe, une plaque à la gloire de son père se dresse, portant une photo accompagnée de la mention "Papa adoré, le plus grand des papas". Cet enterrement sonne comme une délivrance pour Sandrine, qui dispose enfin d'une tombe sur laquelle se recueillir. Sa situation financière complexe l'avait contrainte à trouver une solution provisoire, en attendant d'offrir à son regretté mari une ultime demeure.
Des problèmes financiers sans doute aggravés par la récente décision de justice dans l'affaire du trafic de "miles", ces fameux points fidélité offerts par des compagnies aériennes. La semaine dernière, Sandrine était condamnée à une peine de quatre mois de prison avec sursis et à 139 000 euros de dommages et intérêts pour avoir détourné des "miles" à des personnalités et grands voyageurs, notamment sur la compagnie Air France. Suite à ce verdict, elle a entrepris une procédure en appel. Elle reste innocente des faits qui lui sont reprochés.
Joachim Ohnona