L'heure de la rentrée ne semble pas encore avoir sonné pour les princesses Beatrice et Eugenie d'York. Pour l'instant, on n'en sait toujours pas plus sur le projet professionnel qui semblait il y a quelques semaines se dessiner du côté de Beatrice, diplômée l'an dernier et prête à entrer dans la vie active, ni sur les intentions d'Eugenie concernant la suite de son parcours, après la brillante obtention de sa licence au début de l'été.
Leur mère Sarah Ferguson, dont elles sont si proches, doit bien être au courant de quelque chose, d'autant que les trois femmes passent du temps ensemble en permanence. Après un été qui leur a permis de passer du temps avec leurs boyfriends respectifs - Beatrice est allée se détendre avec Dave Clarke à Saint-Tropez, et Eugenie a fait une rare apparition publique avec Jack Brooksbank - et qui les a vues prendre part aux Jeux olympiques et paralympiques de Londres, les soeurs fusionnelles sont de retour à leurs bonnes vieilles habitudes de sorties nocturnes dans les quartiers chic de Londres.
Mardi 18 septembre, Beatrice, 24 ans, et Eugenie, 23 ans, l'une en bleu, l'autre en rouge, passaient la soirée avec leur mère au club privé 5 Hertford Street, dans Mayfair. Et, vendredi 21, c'est en tête à tête que Fergie, en noir, et sa fille aînée, à nouveau en bleu, se retrouvaient pour un dîner chez Scott, dans la même zone de la capitale anglaise. Affichant, comme à chaque sortie épiée par les photographes, un très large sourire.
Un sourire parfois un peu figé, qui résiste aux flashs, un peu systématique, et pour cause : "personne n'a envie de voir une princesse renfrognée", estime la duchesse, qui leur a donc donné le conseil de sourire à tout prix lors de leurs sorties et place l'humilité au-dessus de tout. Sarah Ferguson, 52 ans, ne tarit d'ailleurs pas d'éloges au sujet de ses filles, comme a pu récemment le constater le journaliste télé américain Matt Lauer, qui la recevait pour la promotion de son nouveau livre, Ballerina Rosie : "Les filles grandissent bien, en douceur, elles s'épanouissent, elles font beaucoup pour les causes caritatives. Je pense qu'au final les gens se rendront compte qu'elles progressent par petites étapes et qu'elle font du bon boulot pour la Grande-Bretagne."