Diane Kruger, Léa Seydoux et Virginie Ledoyen pour ouvrir le festival de Berlin
Publié le 4 janvier 2012 à 16:49
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Par Geoffrey C.
Diane Kruger, en décembre 2011 à Los Angeles. Diane Kruger, en décembre 2011 à Los Angeles.© Abaca
Léa Seydoux, en décembre 2011 à Londres.
Virginie Ledoyen, en décembre 2011 à Paris.
Diane Kruger, en décembre 2011 à Los Angeles.
Benoît Jacquot, en septembre 2006 à Venise.
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Le festival de Berlin n'aurait pu rêver plus belle entrée en matière pour sa 62e édition. Alors que Christian Bale ( Flowers of war), Sandra Bullock ( Extrêmement fort et incroyablement près), Isabelle Huppert (Captured) et deux films encore discrets (Dictado et Postcards From The Zoo) sont déjà annoncés en sélection, c'est au tour des Adieux à la reine de Benoit Jacquot de s'inviter en ouverture du festival.

Diane Kruger, Léa Seydoux et Virginie Ledoyen offriront sans difficulté un joli instant glamour sur le tapis rouge pour défendre un film encore intrigant. Placé dans les derniers jours précédant la Révolution française, Les adieux à la reine raconte le quotidien de Marie-Antoinette (Diane Kruger) vu par les yeux d'une de ses jeunes lectrices (Léa Seydoux). Le casting compte également Virginie Ledoyen, Xavier Beauvois et Noémie Lvovsky.

Réalisateur extrême (L'école de la chair, Sade, Au fond des bois), Benoit Jacquot ne s'est visiblement pas attendri pour ce film à costumes. Récemment, Diane Kruger confiait à Grazia que le tournage avait "été terrible. Marie-Antoinette telle que Benoît Jacquot la perçoit, est limite folle. Elle est à vif en permanence. Une scène, je devais être loufoque, superficielle, ignorante ; celle d'après, trahie, blessée, enragée..."

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Aux côtés du président du jury Mike Leigh, Charlotte Gainsbourg, Jake Gyllenhaal, François Ozon (Potiche), Anton Corbijn (The American) et Asghar Farhadi (Une séparation - Ours d'or l'an dernier) remettront un prix d'honneur à Meryl Streep, qui présentera La Dame de Fer hors compétition.

Pour signifier son engagement politique, le festival de Berlin invite les cinéastes iraniens Jafar Panahi, Mohammad Rasoulof et Mehdi Pourmoussa.

 

La section Panorama vient également de dévoiler les vingt premiers films de la sélection.

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10+10 de Hou Hsiao-hsien (Taiwan)

Death For Sale de Faouzi Bensaïdi (France)

The Wall de Julian Roman Pölsler (Autriche/Allemagne)

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Dollhouse de Kirsten Sheridan (Irlande)

Elles de Malgoska Szumowska (France/Pologne/Germany)

Headshot de Pen-Ek Ratanaruang (Thaïlande/France)

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From Seoul To Varanasi de Kyuhwan Jeon (Corée du sud)

Lost In Paradise de Vu Ngoc Dang (Vietnam)

Indignados de Tony Gatlif (France)

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Keep The Lights On de Ira Sachs (USA)

Kuma de Umut Dag (Autriche)

La mer à l'aube de Volker Schlöndorff (France/Allemagne)

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L'âge atomique de Héléna Klotz (France)

Leave It On The Floor de Sheldon Larry (USA/Canada)

My Way de Kang Je-kyu (Corée du sud)

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Mommy Is Coming de Cheryl Dunye (Allemagne)

The Parade de Srdjan Dragojevic (Serbie/Croatie)

The Woman Who Brushed Off Her Tears de Teona Strugar Mitevska (Allemagne/Belgique/Slovénie)

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Wilaya de Pedro Pérez Rosado (Espagne)

Xingu de Cao Hamburger (Brésil)

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