La suite après la publicité
Chroniqueur dans la matinale d'Europe 1 aux côtés de Bruce Toussaint, animateur de 50 Minutes Inside tous les samedis aux côtés de Sandrine Quétier, roi des prime time de divertissement sur TF1 (il présentera Génération 90, ce soir à 20h45), et bientôt complice de Nicolas Canteloup quotidiennement juste après le JT de 20h, à partir du 10 octobre... Nikos Aliagas est-il hyperactif ? Une chose est sûre, sa sympathie le crédite d'un certain amour du public, et ce depuis son arrivée sur TF1 il y a dix ans presque jour pour jour.
Dans les colonnes du quotidien France-Soir, c'est le ton grave qu'il revient sur la crise sans précédent qui touche la Grèce, ces derniers mois, et évoque l'un de ses proches, criblé de dettes, qui a préféré mettre fin à ses jours...
"C'est une tragédie ! J'ai mal pour ma famille. J'ai appris la mort d'une personne avec laquelle j'ai travaillé. Il s'est suicidé car il était endetté. Ce n'est pas un cas isolé ! Il faut arrêter de croire que les Grecs sont des voleurs. D'un côté, on essaie d'établir la démocratie de certains pays, et de l'autre, on est incapable de donner à bouffer à nos citoyens. Ce paradoxe est inquiétant", constate-t-il, impuissant.
Plus léger lors d'un entretien accordé à notre confrère et ami Laurent Argelier dans le cadre de sa chronique people sur MFM Radio, l'animateur est revenu sur sa vie sentimentale dans les années 90, à l'époque où il rencontrait un succès plus confidentiel avec les femmes...
"Dans les années 90, je me mettais du gel dans les cheveux, et je faisais des pompes. (...) A cette époque-là, j'avais des allures de tombeur, mais au fond de moi-même j'étais un loser. J'ai souvent été un loser, un playboy à deux balles. Je frappais souvent à la mauvaise adresse, et je me suis rendu compte que j'étais bien mieux tout seul", ironise-t-il.
Aujourd'hui, il n'a rien à envier à Brad Pitt et autre George Clooney, notre Nikos. Modeste dans l'âme, son succès avec les femmes, il préfère en plaisanter : "Encore aujourd'hui, c'est un malentendu permanent. Le succès isole. Si on a attendu ça toute sa vie pour faire le beau gosse, c'est un peu ridicule." Une interview à découvrir en audio dans notre player ci-dessus.
Joachim Ohnona
Dans les colonnes du quotidien France-Soir, c'est le ton grave qu'il revient sur la crise sans précédent qui touche la Grèce, ces derniers mois, et évoque l'un de ses proches, criblé de dettes, qui a préféré mettre fin à ses jours...
"C'est une tragédie ! J'ai mal pour ma famille. J'ai appris la mort d'une personne avec laquelle j'ai travaillé. Il s'est suicidé car il était endetté. Ce n'est pas un cas isolé ! Il faut arrêter de croire que les Grecs sont des voleurs. D'un côté, on essaie d'établir la démocratie de certains pays, et de l'autre, on est incapable de donner à bouffer à nos citoyens. Ce paradoxe est inquiétant", constate-t-il, impuissant.
Plus léger lors d'un entretien accordé à notre confrère et ami Laurent Argelier dans le cadre de sa chronique people sur MFM Radio, l'animateur est revenu sur sa vie sentimentale dans les années 90, à l'époque où il rencontrait un succès plus confidentiel avec les femmes...
"Dans les années 90, je me mettais du gel dans les cheveux, et je faisais des pompes. (...) A cette époque-là, j'avais des allures de tombeur, mais au fond de moi-même j'étais un loser. J'ai souvent été un loser, un playboy à deux balles. Je frappais souvent à la mauvaise adresse, et je me suis rendu compte que j'étais bien mieux tout seul", ironise-t-il.
Aujourd'hui, il n'a rien à envier à Brad Pitt et autre George Clooney, notre Nikos. Modeste dans l'âme, son succès avec les femmes, il préfère en plaisanter : "Encore aujourd'hui, c'est un malentendu permanent. Le succès isole. Si on a attendu ça toute sa vie pour faire le beau gosse, c'est un peu ridicule." Une interview à découvrir en audio dans notre player ci-dessus.
Joachim Ohnona