La récente rumeur selon laquelle les Cambridge et les Sussex ne passeraient pas Noël ensemble lors de la traditionnelle réunion de famille à Sandringham autour de la reine Elizabeth II a été celle de trop : le prince Harry, dont les accès d'humeur en coulisses ont déjà attiré l'attention, a rué dans les brancards et déclenché une enquête interne, bien décidé à savoir qui renseigne la presse et fait courir ces bruits embarrassants sur d'hypothétiques tensions. L'ambiance est plus que jamais délétère au sein des équipes...
Alors que le Daily Mail vient au contraire d'affirmer que William, Kate, Harry et Meghan se réuniraient bien – dans la joie et l'allégresse ? – pour les fêtes de fin d'année à l'occasion de la messe et du déjeuner de Noël dans le Norfolk le 25 décembre, le même média a révélé au cours du week-end qu'une véritable "chasse à la taupe" avait été lancée par le fils cadet du prince Charles en vue de faire cesser les fuites médiatiques qui ont conduit à une publicité peu avantageuse ces dernières semaines. Depuis l'annonce du remaniement du staff que les deux couples partagent au palais de Kensington et du déménagement prochain du duc et de la duchesse de Sussex pour Frogmore Cottage à Windsor, des rapports d'incidents et de tensions entre les membres du quatuor aux allures de royal Fab Four ont fait surface.
Les langues se sont notamment déliées au sujet des préparatifs du mariage royal, célébré le 19 mai dernier à Windsor, qui auraient cristallisé cette atmosphère électrique : il y a eu ce coup de sang d'Harry, rapporté dans un ouvrage par le journaliste Robert Jobson, qui aurait perdu son sang-froid et tempêté contre le personnel en disant "ce que Meghan veut, Meghan l'aura" ; les larmes de la duchesse Catherine lors de l'essayage de robe de sa fille la princesse Charlotte ; les exigences sans complexe d'une Meghan souvent décrite comme très autoritaire, entre son désir de se voir prêter par la souveraine un certain diadème (que Sa Majesté lui a finalement refusé, le réservant pour les noces de sa petite-fille la princesse Eugenie) et sa volonté que du désodorisant soit vaporisé dans la chapelle Saint George le jour de la noce (requête retoquée par Buckingham, sidéré).
Dénominateur commun de la plupart de ces fuites peu flatteuses, la duchesse Meghan de Sussex, actuellement enceinte de son premier enfant, est en première ligne. Dernièrement, les révélations sur la démission de son assistante Melissa, que son attitude faisait fondre en larmes malgré ses grandes compétences, et sur un accrochage avec Kate, qui lui aurait reproché de tancer un membre de son personnel à elle, ont encore menacé l'image idéale que les Sussex renvoient au contraire en public. Deux ans après avoir émis un communiqué très musclé pour prendre la défense de sa bien-aimée alors que leur histoire d'amour venait d'être révélée, le prince Harry sort à nouveau les barbelés.
La chasse à la taupe donnera-t-elle des résultats ou ne fera-t-elle qu'empirer la situation ?